Ca y est, c’est le mois de mars. C’est-à-dire le printemps. Pas pour le calendrier officiel. Mais pour les autorités météorologiques, si : en météo, le printemps débute le premier mars pour se terminer le 31 mai. Et cette année, la saison réelle a pris un peu d’avance même sur ce calendrier-là.
En conséquence, les activité en plein air du Sens de l’Humus reprennent pour de vrai dès dimanche, et l’agenda de ce blog sera de nouveau rempli régulièrement. Et notamment nos permanences dominicales aux Murs à Pêches recommencent, hors événements exceptionnels.
Au programme des prochaines semaines : reprendre contact avec le sol et les fourches-bêches ; un atelier compostage dans le courant du mois ; plantation de fruits rouges si on en trouve ; préparation du plan de semis pour le printemps…
On prévoit les premiers semis pour la fin du mois. Si vous avez des graines sans terre, on aura peut-être une place pour elles. Inversement, si vous avez de la place chez vous, et éventuellement un balcon, vous pouvez peut-être vous occuper de quelques semis de tomates…
On est aussi à la recherche de tous matériaux nous permettant d’améliorer le jardin, et notamment tout ce qui peut servir de tuteur, ou être élément d’un système de tuteurage : bambous, batons divers, branchages…
Pour rappel, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues pour venir participer à nos projets, ou pour lancer de nouvelles idées. A condition bien sûr qu’elles soient en phase avec la philosophie du Sens de l’Humus.
Et il n’y a pas que le jardin : on prépare pour septembre notre site internet, qu’on espère le plus complet possible. Tous les talents de rédacteurs, de graphistes sont aussi les bienvenus. Et puis aussi toutes les compétences auxquelles je ne pense pas forcément en ce moment.
En bref, pensez à passer nous voir, ou à nous contacter, ou à contacter d’autres associations des Murs à Pêches, vous y trouverez sans doute votre bonheur.
Le printemps triomphe, mais nous n’avons plus d’hiver.
(Spéciale dédicace au groupe Oblomoff. Tiens je vais la sortir au salon de l’argiculture celle-là, devant les productivites, « le futur triomphe mais nous n’avons plus d’avenir ». Tiens j’ai une entrée en rab si quelqu’un veut même)
ha oui l’étape suivante, ce sera :
L’été triomphe, mais nous n’avons plus d’automne
(ni d’hiver ni plus rien d’autre même.)